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Revue de Presse - Spi Ouest-France 2013
Certains ont pu naviguer sur le Kelt du centre. Gilles Le Baud était le patron de Kelt Marine.
Spi Ouest-France - Intermarché. Le Baud : « Revivre du plaisir au large »Voile mercredi 27 mars 2013
35e Spi Ouest-France - Intermarché, à La Trinité-sur-Mer (29 mars - 1er avril). Le double vainqueur de la Course de l’Aurore (65 ans) est de retour, trois décennies plus tard… Entretien avec celui qui fut l’un des fondateurs du Spi. Gilles, quelle mouche vous a piqué pour replonger ? Je voudrais surtout qu’on oublie que je suis le double vainqueur de l’Aurore (1973 et 1978). Aujourd’hui, je ne joue plus dans la même catégorie, je reviens modestement, humblement. J’ai eu une vie professionnelle qui était incompatible avec la course au large, mais vers 2004, je me suis remis à la Caravelle en baie de Morlaix. Je partais de loin, mais je me suis repris au jeu de la compétition. Je suis même revenu deux fois participer à mon cher Spi en J80, avec un équipage familial et mes filles. Je m’étais bien amusé. Et à l’âge de la retraite, j’ai eu plus de temps à ma disposition. On se doute que les premières navigations ont dû être… particulières ? Durant mes années d’abstinence, je me suis contenté de régates familiales. Mais lors du premier entraînement à Lorient Course au Large, le centre de Tanguy Leglatin, ce fut très dur. Au fil des séances, j’ai retrouvé des sensations en vitesse et en réglages, mais je suis toujours largué en manœuvres et sur les phases de transition. Je suis plus raide et j’ai perdu en réflexes, je pensais que ça irait plus vite. Mais au large, j’avais une grande résistance au mal… Quelles sont vos ambitions ? J’espère gratter trois-quatre coureurs et prendre du plaisir à me bagarrer avec eux. J’espère tout simplement revivre du plaisir au large en solitaire. Et puis cela m’impose une remise à niveau. Avant, on naviguait avec des outils anciens, les bateaux avaient des régulateurs d’allure, mais dès qu’on lâchait la barre… Rien à voir avec le pilote automatique. Aujourd’hui, on peut dormir plus et passer plus de temps à régler le bateau. Dire que dans les années soixante-dix, vous naviguiez avec les papas de Yann Elièsou de Nicolas Lunven… Récemment, j’ai croisé Bruno (Lunven, sur le podium en 1974 et 1975) et son fils (Nicolas, lauréat en 2009), un joli moment. Je suis heureux de renouer avec cette génération-là et je crois qu’on va vivre une aventure commune cet été sur la Solitaire du Figaro. Avec du recul, c’est incroyable les belles fêtes qu’on a pu faire avec leurs papas. À l’époque, on formait une petite famille. Recueilli par Éric HORRENBERGER. Date de création : 17/11/2013 @ 16:35 Réactions à cet article
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